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Andropause : causes, symptômes, traitements

Andropause : causes, symptômes, traitements
Les informations fournies sur le site ne doivent pas substituer un diagnostic ou un traitement médical, sans consultation préalable d’un professionnel de la santé. Le diagnostic d’andropause est confirmé par un urologue ou un endocrinologue sur la base des symptômes présentés, de leur fréquence d’apparition et de l’âge auquel ils se sont manifestés. C’est pourquoi, il est important de consulter un médecin afin de procéder à une évaluation de la situation et d’instaurer un traitement adapté, si nécessaire. La masturbation en tant que telle n’est pas malsaine pour le corps et la sexualité.
Cette variabilité des symptômes est corroborée par des études récentes, qui suggèrent qu’il n’existe pas de corrélation directe et systématique entre le niveau de testostérone et les symptômes d’andropause. Ainsi, certains hommes avec un taux de testostérone dans la normale peuvent éprouver des symptômes typiques de l’andropause. Cette information est essentielle pour une évaluation correcte et globale des symptômes, et éviter de réduire l’andropause à une simple question hormonale. Les traitements hormonaux substitutifs sont une des solutions les plus efficaces pour rétablir un bon taux de de testostérone chez les hommes présentant un déficit avéré. Ce traitement est principalement indiqué pour les hommes ayant un faible testostérone chez les jeunes hommes (https://anthese.fr) taux de testostérone confirmé par une analyse sanguine et qui éprouvent des symptômes modérés à sévères.
L’andropause, encore appelée le déficit androgénique lié à l’âge, correspond au pendant masculin de la ménopause. Moins connue et plus controversée que la ménopause qui touche les femmes, l’andropause concerne néanmoins une proportion croissante des hommes, en particulier chez les plus âgés. Les spécialistes considèrent l’andropause comme un syndrome biochimique lié à l’âge, caractérisé par une baisse de la sécrétion des androgènes, associée ou non à une diminution de la sensibilité des tissus aux androgènes.
“Cependant, les hommes fumeurs, alcooliques, ceux qui souffrent d’une maladie chronique ou d’obésité sont particulièrement à risque”, d’après Alain Scheimann, endocrinologue à Paris. Cet article médical a été relu et validé par un médecin andrologue au sein d’un établissement ELSAN, groupe leader de l’hospitalisation privée en France. Il a un but uniquement informatif et ne se substitue en aucun cas à l’avis de votre médecin, seul habilité à poser un diagnostic. Il demeure le moins coûteux, mais nécessite de se déplacer chez le médecin ou dans une clinique pour recevoir l’injection. Par exemple, le cypionate ou Depo-Testostérone® à une dose de 250 mg et l’enanthate de testostérone ou Delatestryl®à une dose de 250 mg doivent être injectés toutes kes 3 semaines.
La pratique d’un exercice physique modéré et régulier aura un effet favorable tant sur les paramètres psychiques que physiques. Ces facteurs ont été associés en définitive à un plus faible taux de testostérone. En outre, le diagnostic repose sur des analyses répétées à quelques jours d’intervalle, effectuées à jeun le matin, pour tenir compte des fluctuations naturelles de la testostérone. La prise en compte de facteurs comme l’âge, les comorbidités (diabète, obésité) et les variations éthniques est essentielle. La libido correspond à l’envie et la volonté d’avoir une activité sexuelle, y compris la masturbation. Le désir sexuel fluctue tout au long de la vie et, parfois, les hommes peuvent souffrir d’une baisse de libido. Il est important de noter que tous les hommes ne souffrent pas nécessairement de tous ces symptômes.
Les hommes peuvent constater une prise de poids, particulièrement au niveau abdominal, associée à une perte de masse musculaire. Cette modification de la composition corporelle est liée à la diminution de la testostérone, qui joue un rôle clé dans le métabolisme et la synthèse des protéines musculaires. L’andropause, également appelée déficit androgénique lié à l’âge (DALA), est un phénomène biologique caractérisé par une baisse progressive de la production de testostérone chez l’homme.
Comme l’indique Stéphane Korsia-Meffre dans son analyse, une évaluation rigoureuse des symptômes et des taux hormonaux est indispensable avant d’envisager un traitement. Si vous ressentez des symptômes évoquant ce phénomène, consultez un professionnel de santé pour un diagnostic précis et une prise en charge adaptée. Le diagnostic de l’andropause est établi en cas de signes cliniques associés à une prise de sang révélant une diminution de la testostérone. Le médecin peut aussi utiliser le questionnaire d’Adam (cf. ci-dessous). Il est plus juste de parler de ‘déficit androgénique lié à l’âge’ ou DALA.
Selon une enquête menée par le site de rencontre pour les plus de 50 ans Disons Demain, 85 % des hommes considèrent ce sujet tabou, et 44 % estiment que les professionnels de santé n’en parlent pas suffisamment. Pourtant, cette période de la vie masculine peut profondément affecter la qualité de vie, tant sur le plan physique que psychologique. Attention, certains symptômes peuvent résulter d’autres phénomènes liés au vieillissement et pas uniquement de la baisse de sécrétion des androgènes due à l’andropause. La consommation d’aliments trop gras et trop sucrés peut avoir des conséquences sur le taux de testostérone dans le sang. En effet, le surpoids représente l’un des facteurs à risque de la diminution de cette hormone chez l’homme.
Des examens complémentaires tels qu’une prise de sang dont le but est de réaliser un dosage de la testostérone totale et biodisponible peuvent être réalisés. La ménopause implique un arrêt total des œstrogènes et de la progestérone chez la femme. Or avec l’andropause, l’homme ne connaît qu’une baisse des hormones mâles et non pas un arrêt total. En outre, l’andropause ne touche pas tous les hommes de la même façon, ni au même âge. L’erreur la plus commune revient à attribuer de façon systématique la baisse de testostérone au vieillissement, alors que deux pour cent des cas d’hypogonadisme sont liés uniquement à l’âge. Ces changements de mode de vie sont indispensables mais pas toujours suffisants pour contrer tous les effets de la baisse de testostérone.